Yaskawa lance son nouveau cobot dans la gamme Motoman
posted Tuesday 13 October 2020
Yaskawa, le spécialiste en robotique industrielle et en systèmes d’automatisation avec plus de 430 000 robots installés en parc industriel, présente son nouveau cobot Motoman HC20DT. Ce modèle, nettement plus grand que les autres modèles de la gamme de cobot, a été conçu pour manipuler une charge maximale de 20 kg (contre 10 kg pour les autres cobots) et couvre une plage de travail de 1,70 m (contre 1,20 m).
Grâce à ce robot collaboratif, les opérateurs bénéficient d’une assistance efficace, en particulier pour les tâches physiquement pénibles comme la palettisation de grands cartons, de caisses ou d’autres marchandises empilables.
Le robot permet d’améliorer l’ergonomie des postes de travail et ainsi de libérer l’opérateur. Avec une classe de protection IP67 contre la poussière et l’eau, le cobot est également utilisé dans des environnements difficiles comme le chargement de machines-outils, où le robot entre souvent en contact avec des liquides graisseux. Sa grande capacité de charge permet l’utilisation d’un préhenseur à double pince très souvent utilisé dans les applications de services machine (CNC), permettant la manipulation simultanée de plusieurs pièces lourdes. Sa surface facile à nettoyer et l’utilisation d’une graisse lubrifiante alimentaire en font un robot adapté aux industries agroalimentaire et chimique.
La sécurité requise en cas de contact direct avec l’opérateur est assurée par six capteurs de couple intégrés qui permettent une interaction flexible et contrôlée entre le robot et son environnement. Le bras du robot est conçu de manière à éviter tout risque d’écrasement, par exemple des doigts. Selon l’évaluation des risques, il ne nécessite donc pas de mesure de protection supplémentaire telle qu’une enceinte de sécurité, ce qui permet un gain en termes d’espace et de coût. Afin d’augmenter encore les performances du robot, il peut également être utilisé en mode hybride en connectant une technologie de sécurité externe, par exemple un scanner laser. Le cobot alterne alors entre vitesse collaborative, vitesse réduite et vitesse maximale, adaptant ainsi sa dynamique en fonction de la distance de l’opérateur.
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